Compte rendu d’une journée de formation interne du SCD Lille 3.
Le 16 novembre 2012, le Service commun de la documentation de l’université Lille 3 a organisé une journée de formation interne sur le thème de l’évolution de la Bibliothèque universitaire vers le Learning Center, rassemblant à l’Imaginarium de Tourcoing le personnel du Service commun de la documentation appelé à être le moteur de cet ambitieux projet de l’université soutenu par le Conseil régional Nord-Pas de Calais.
Le 1er août 2011, le blog Insula avait rendu compte du rapport publié par la Conférence des présidents d’université en l’illustrant de l’exemple du Learning Center de Lille 3 alors en réflexion, augmenté d’autres publications et de nos propres commentaires1. Quinze mois après ce billet, cette journée professionnelle qui s’est tenue à l’Imaginarium de la Plaine images de Tourcoing permet de voir le chemin parcouru dans la réflexion et de bénéficier de l’apport de regards extérieurs.
Pascale Debrock, responsable de l’Imaginarium, a accueilli les participants par un mot de bienvenue. Le choix du lieu avait valeur de symbole : l’Imaginarium – Plaine images de Tourcoing, dont nous avons déjà parlé dans Insula, est un site dédié aux industries créatives, et un lieu de convergence entre entreprises, artistes, structures de formation et acteurs de la recherche2. S’y déplacer pour évoquer le projet de Lille 3 est une invitation à ouvrir nos cultures, compétences et pratiques professionnelles sur l’extérieur, et notamment le numérique et l’innovation a souligné Isabelle Westeel, Directrice du Service commun de la documentation de Lille 3, en présentant le programme de cette journée.
Martine Benoit, Vice-Présidente déléguée Humanités numériques et documentation en charge du Learning Center de Lille 3 a inauguré cette journée en rappelant qu’elle travaille sur le Learning Center de Lille 3 depuis 2009, quand Alain Deremetz, qui travaillait sur ce dossier, le lui a confié. Il s’agit donc d’un dossier déjà ancien qui va se concrétiser.
Le Learning Center de Lille 3 comporte deux volets : un projet de bâtiment et un projet scientifique qui a commencé en janvier 2011. Dans un dialogue très fécond avec le Conseil régional Nord−Pas de Calais, l’ensemble du projet Learning Center de Lille 3 − soutenu par l’établissement − a évolué : le budget pour construire le bâtiment a en particulier énormément augmenté par rapport aux premières estimations et le Learning Center archéologie/égyptologie va s’ouvrir à l’ensemble des disciplines en Sciences humaines et sociales de l’établissement.
Le Learning Center : acteur d’une société du savoir pour tous
Serge Schneidermann, Directeur de la mission Learning Centers au Conseil régional Nord-Pas de Calais, a souligné l’importance de la dynamique du Learning Center archéologie/égyptologie de Lille 3 vers l’ensemble des disciplines de l’établissement.
Avant la création du bâtiment, qui nécessitera encore du temps avant d’être réalisé, Serge Schneidermann annonce l’ouverture dès janvier 2013 d’un portail virtuel des Learning Centers de la région.
Ce portail virtuel comprendra en particulier le sous-portail de Lille 3, rappelant que le Learning Center en archéologie et égyptologie était particulièrement moteur sur ce projet.
Les Learning Centers du Nord−Pas-de-Calais s’organisent dans un projet global et ambitieux. Serge Scheidermann a rappelé que, dès 2007, Daniel Percheron, Président du Conseil régional Nord-Pas de Calais, a eu la volonté de créer « une société du savoir pour tous ». Le Louvre-Lens et la Région des musées font partie de ce projet, tout comme le maillage des Learning Centers, au nombre de quatre aujourd’hui, qui développent les thématiques des faits religieux, de l’innovation, de l’archéologie/égyptologie et de la ville durable. Le Learning Center de Lille 3 s’inscrit dans le cadre du développement de l’attractivité culturelle et territoriale. La Région accompagne de manière importante ce projet parce que celui-ci développe en particulier la formation tout au long de la vie et la médiation culturelle vers tous les publics3.
Une chance pour les usagers … et les personnels !
Anne-Marie Chaintreau, Conservateur des bibliothèques, qui a longtemps supervisé les dossiers de construction de bibliothèques à la Sous-direction des bibliothèques et de l’information scientifique du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche, a dressé un état des lieux des projets de construction et de réhabilitation de bibliothèques universitaires en France, avec quelques chiffres pour commencer :
La France compte 1 million de m2 de Bibliothèque universitaire. Depuis l’année 2000, 270000 m2 nouveaux ont été créés et 96000 ont été réhabilités.
Le programme de réhabilitation de bibliothèques − construites pour la grande majorité dans les années 60 et 70 − est trop lent en France et les bibliothèques ont souffert de l’insuffisance de crédits de maintenance. Beaucoup d’entre elles sont vétustes et la question est alors de déterminer s’il est préférable de réhabiliter ou de construire un nouveau bâtiment.
La Bibliothèque universitaire de Lille 3 sera « réhabilitée ». Ce terme n’a pas de sens réglementaire. Il s’agit de réaliser des travaux d’amélioration générale et/ou de mise en conformité d’un bâtiment avec les normes en vigueur. Cela implique en fait à la fois des travaux importants de transformation du bâtiment, mais encore de ses missions, prenant en compte les nouveaux usages, les nouveaux comportements, les nouvelles technologies, les nouvelles méthodes d’apprentissage, …
Ces deux dernières décennies, les grandes opérations de réhabilitation et de construction des universités, en France dont les bibliothèques, ont été réalisées dans le cadre des schémas d’aménagement universitaire U 2000 (Xe et XIePlan dans les années 1990) et U3M (XIIe Plan au début des années 2000). D’autres opérations ont été et seront réalisées dans le cadre des Contrats de projets État/Région 2007-2013. Enfin des projets ont été étudiés dans le cadre de l’Opération Campus. Des travaux sont entrepris régulièrement un peu partout dans les bibliothèques universitaires. Aujourd’hui, pour ces travaux de réhabilitation (et de construction), il existe en France divers modes de financement : les crédits de mise en sécurité ; les Contrats de projets Etat/Région 2007-2013 ; l’Opération Campus, sources de financement qui peuvent d’ailleurs s’entrecroiser pour une même opération et dans lesquelles il faut souligner la large participation des collectivités territoriales.
Le cadre le plus récent des opérations immobilières est en effet l’Opération Campus, ou Plan Campus − lancée en février 2008 − qui a pour objectif de faire émerger des pôles universitaires d’excellence en France, grâce à des dotations exceptionnelles. Dix campus ont été sélectionnés en 2008 auxquels ont été joints ceux de Lille et de Nancy-Metz puis des campus appelés « prometteurs » et « innovants ». La plupart des campus ont monté leurs premières opérations en mode de partenariat public-privé (PPP), ce qui était demandé à l’origine dans l’appel d’offres. Cette procédure est jugée aujourd’hui complexe et peu familière aux acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle est surtout assez peu adaptée à des opérations de réhabilitation. Quoiqu’il en soit l’opération lilloise de réhabilitation de la bibliothèque universitaire n’est pas envisagée avec ce mode de financement. Le projet lillois s’inscrit dans le cadre du CPER et dans la procédure plus classique de la loi MOP relative à la maîtrise d’ouvrage publique et à ses rapports avec la maîtrise d’œuvre privée, et avec pour maître d’ouvrage la Région Nord-Pas-de-Calais.
« Les premiers projets de Learning Center à émerger en France ont été ceux de la région Nord-Pas de Calais »
« Les premiers projets de Learning Center à émerger en France ont été ceux de la région Nord-Pas de Calais » note Anne-Marie Chaintreau. Aujourd’hui, nombreux sont les projets ou sites à adopter le concept ou l’appellation « Learning centre » ou « Learning center ».
La transformation de la bibliothèque universitaire de Lille 3 en Learning Center, ce sera un important chantier de travaux, avec ses nuisances pour les usagers et les personnels, ses problématiques de déménagement des services et d’importantes collections.
Mais c’est aussi un ambitieux chantier sur les collections (désherbage, dépoussiérage, recotation, redéploiement…), une réorganisation des espaces, des services, des équipes, une réflexion sur l’évolution des missions et plus largement des métiers : c’est une chance pour les personnels.
Outre le budget pour les travaux, souligne Anne-Marie Chaintreau, il est indispensable de prévoir une enveloppe financière suffisante pour le premier équipement, pour le renouvellement quasi complet du mobilier et du matériel et permettre de l’adapter aux nouvelles pratiques des étudiants et de l’ensemble des usagers du Learning Center.
Au final, une réhabilitation réussie c’est un accès facilité à tous les services par la mise en libre-accès des documents, c’est l’offre de nouveaux services dans des espaces renouvelés : salles de formation, espaces multimédia, places de travail ou de consultation diversifiées, salles de travail en groupe, espaces de convivialité, d’exposition, dans de meilleures conditions de confort pour tous (ergonomique, visuel, acoustique, thermique), la sécurité des personnes et des biens, …
Sans oublier que pour durer, un tel équipement doit demeurer « en perpétuelle transformation ».
Guide pour un projet de construction
Hasard du calendrier, convergence de l’actualité : notons que le jour même de cette journée professionnelle à l’Imaginarium, le Ministère de l’enseignement et de la recherche diffusait la publication rédigée sous la direction d’Anne-Marie Chaintreau : Bibliothèques universitaires-Learning centres : guide pour un projet de construction. Voir le site : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr
Deux à trois ans de travaux à programmer
Le Conseil régional Nord-Pas de Calais est Maître d’ouvrage de l’opération du Learning Center de Lille 3. Véronique Heulard, Directrice de projets à la Direction des grands équipements au Conseil régional Nord-Pas de Calais, est intervenue sur la démarche de programmation dans le cadre d’un projet de type “Loi MOP”, procédure retenue pour la création du Learning Center de Lille 3.
Une fois réalisé, le bâtiment s’impose durablement à celui qui l’utilise.
La programmation est une étape fondamentale et essentielle pour la suite du projet, pour faire en sorte que « l’usage se matérialise dans l’ouvrage ». Une fois réalisé, le bâtiment s’impose durablement à celui qui l’utilise.
Le programme – un contrat – sera en effet la véritable mémoire du projet : par la programmation, le Maître d’ouvrage − en l’occurrence le Conseil régional − se consacre à préfigurer la vie dans le futur ouvrage avec l’objectif que cette préfiguration “passe dans les murs”.
La programmation est également un outil clef de la maîtrise des dépenses pour faire coïncider au plus juste le projet dans son ensemble avec les capacités financières de la maîtrise d’ouvrage. Tout ce qui ne sera pas écrit dans le programme ne pourra pas être ensuite réclamé au Maître d’œuvre, c’est-à-dire à l’architecte et aux divers cabinets qui l’entourent, et aux entreprises de travaux.
À ce jour, il a été réalisé un préprogramme du Learning Center de Lille 3 qui a proposé diverses options déterminant la somme nécessaire à l’exécution des travaux.
Désormais, il est nécessaire de concevoir et rédiger un programme, le plus complet possible, qui sera l’expression de la commande à l’adresse du maître d’œuvre. Il donnera lieu à un concours d’architecture pour désigner le maître d’œuvre. La phase de conception consécutive comprend diverses étapes (esquisse, avant projet sommaire, avant projet définitif et projet proprement-dit). Elle est suivie des appels d’offres des entreprises de travaux avant les travaux eux-mêmes qui comprennent la préparation du chantier, les démolitions éventuelles, la construction proprement-dite.
Selon les projets, la durée d’une opération peut aller de trois à dix ans entre la préprogrammation et la livraison jusqu’à la mise en service du bâtiment. Le projet de Lille 3 est la réhabilitation d’un bâtiment complexe de 18000 m2, qui représente une opération plus compliquée que la construction d’un bâtiment et qui nécessitera deux à trois années pour la phase concrète des travaux.
Le Learning Center : le lieu de la sérendipité
Pierre Franqueville, Directeur de l’agence d’ingénierie culturelle abcd, a invité à une réflexion sur le thème « bibliothèque minimale ou bibliothèque augmentée ? », dans le prolongement d’un article qu’il a fait paraître récemment dans le Bulletin des Bibliothèques de France 4.
Partant de la bibliothèque d’hier, comment concevoir aujourd’hui un nouveau modèle de bibliothèque pour demain ?
Elaborer le programme, dont il a été rappelé l’importance, c’est définir le Learning center, et cela implique de s’interroger sur l’évolution de nos modèles en observant dans notre bibliothèque actuelle les détournements d’usages afin de mesurer l’écart, creusé avec le temps et les usages, entre conception initiale et pratique : observer les postures des usagers, comment ceux-ci entrent dans l’équipement, comment ils utilisent ou non les collections.
Mais construire un Learning Center, ce n’est pas seulement créer un lieu répondant aux usages d’aujourd’hui, c’est aussi anticiper sur ceux de demain. Pour cela, le programmiste est invité à élargir sa focale en emboîtant le pas à l’urbaniste et au sociologue.
Un « équipement du livre » comme une bibliothèque s’inscrit dans une relation à un territoire : la bibliothèque est un média, un flux (d’informations, de personnes), une ville en miniature, et il doit en percevoir les attentes nouvelles : celles d’un nouveau type de lieux intermédiaires entre sphère privée, sphère professionnelle et espace public, intégrant, prolongeant, favorisant leurs pratiques et usages respectifs. Cette nouvelle génération d’équipements (bibliothèque, Learning center, ou « troisième lieu ») devient un trait d’union dans la cité, un lieu de sociabilité urbaine, un lieu de la parole et se doit d’intégrer un souci d’ergonomie globale pour des usages différents : ouverture sur le quartier, large amplitude horaire, et de bonnes conditions d’accueil pour tous les publics : pour des gens de passage, comme pour ceux qui restent, pour ceux qui lisent, ceux qui écrivent, ceux qui discutent, téléphonent et ceux qui font tout en même temps…
La bibliothèque, rappelle Pierre Franqueville après François Ascher, doit être le lieu qui nous ralentit dans le parcours habituel de vitesse et d’efficacité du citoyen de la ville hypermoderne. Le Learning Center doit être le lieu de la « sérendipité » : que l’on puisse y trouver des choses qu’on ne cherchait pas intentionnellement, un lieu d’opportunités, un lieu du frottement, de l’imprévisible, …
Mais l’erreur à ne pas commettre serait celle de la modélisation : un projet innovant ici ne doit pas être calqué pour un autre là-bas. Il ne faut pas cristalliser un modèle mais au contraire savoir divaguer.
Les mots clés du Learning Center
Jean-Michel Mermet, Chargé de mission en système d’information à l’Université de Grenoble, est ensuite intervenu pour tenter de définir ce qu’est un Learning Center. Pour lui, le Learning Center est le projet d’avenir le plus prometteur et le plus enthousiasmant des bibliothèques universitaires et permet d’éviter le risque de sclérose de lieux qui ne deviendraient plus adaptés.
Il évoque cinq concepts clés pour définir le Learning Center : un lieu ; le service ; les personnels ; la dynamique ; l’expérimentation.
- Les lieux doivent être aménagés, confortables, agréables, bien signalés, avec des zones acoustiques bien différenciées, des lieux flexibles toujours ouverts, accessibles à tous, à l’écoute des évolutions des besoins des étudiants, adaptés aux exigences du travail universitaire, des lieux qui encouragent la créativité, favorisant l’apprentissage actif.
- Les services offerts doivent être multiples et intégrés, et les ressources abondantes et multi-support, empruntables, consultables sur place ou à distance. Pour Jean-Michel Mermet, le Learning Center doit aussi être le lieu qui collecte, donne l’accès et conserve toutes les ressources académiques produites par l’université : services de podcasts, de visioconférence, d’archives ouvertes ; création de tutoriels ; fablab ou hackerspace ; formation aux multimédias ; expertise en recherche d’information ; être le garant de la bonne gestion des droits (usages des ressources, culture du partage des créations (licences Creative Commons), sensibilisation au plagiat)…
- Mais un Learning center ne remplira ces rôles que si les compétences de ses personnels évoluent. Pour Graham Bulpitt, créateur du Learning Resources Center de l’université de Kingston – nous l’avions rappelé dans notre billet de 2011 – « le personnel est l’ingrédient le plus important d’un Learning Centre ». Un Learning Center doit être le lieu des professionnels de la documentation, de la pédagogie, des TICE, de l’orientation. Les personnels doivent y être plus polyvalents et savoir guider les usagers vers des spécialistes, s’intéresser à ce qui se passe dans l’université, assurer une veille personnelle. Le personnel ne doit plus être un intermédiaire entre le lecteur et le savoir mais adopter une attitude d’accompagnement.
- Dans un Learning Center, il y a une exigence de réinventer constamment. Il convient de vérifier l’adéquation entre les services offerts et les besoins, savoir les ajuster. Le succès est temporaire : le Learning Center doit toujours évoluer, être flexible.
- Au titre des expérimentations, Jean-Michel Mermet évoque les Ateliers de l’information mis en place par le SICD1 de Grenoble : ces conférences de formation de trente minutes podcastées et suivies de questions, associent des personnels de la bibliothèque, des enseignants, des étudiants, autour de thèmes liés à la recherche, la citation, la production, la mise en forme sur différents supports de l’information, dans une logique d’expérimentation chère à la culture scientifique, organisés par la BU selon le principe « L’information sous tous ses aspects, c’est à la BU qu’on en parle ! »5.
Concrètement …
L’après-midi a été consacré à l’évolution des services à la Médiathèque municipale Till l’Espiègle de Villeneuve d’Ascq et à la Bibliothèque Droit-Gestion du Service commun de la Documentation de Lille 2 après la mise en place de la radio-identification (RFID, de l’anglais radio frequency identification). Anne Heems, Chargée de l’informatique à la Médiathèque de Villeneuve d’Ascq et Perrine Cambier-Meerschman, Conservateur responsable de la bibliothèque Droit-Gestion (pôle Moulins) au SCD de l’Université Lille 2 ont présenté à deux voix ces évolutions au sein de leurs établissements. Retour d’expérience utile puisque le déploiement de cette technologie est en projet au Service commun de la documentation de Lille 3.
Pour finir, Anne Morenvillé, Conservateur chargée de projet de restructuration de la BUC / Learning Center de Lille 3 et Sandrine Berthier, Conservateur au SCD Lille 3, responsable de la stratégie numérique, nous ont fait voyager en France et à l’étranger, en particulier aux Pays-Bas, dans le monde des bibliothèques nouvellement créées ou transformées, avec une présentation des points forts et des points plus critiquables des projets pour donner une réalité plus tangible, souvent esthétique, au projet de Learning Center.
Il reste à l’ensemble des personnels du SCD Lille 3 de passer du rêve à la réalité. On l’aura compris : il faudra encore un peu de patience …
Je tiens à remercier Anne Morenvillé pour l’aide apportée à la rédaction de ce billet.
- Christophe Hugot, « Enjeux et problématiques des Learning Centres : l’exemple de Lille 3 », Insula [En ligne], mis en ligne le 1 août 2011. URL : <https://insula.univ-lille3.fr/2011/08/problematiques-learning-centers/>. Consulté le 21 novembre 2012. [↩]
- Christophe Hugot, « Les 3 ans du Pôle Images Nord-Pas-de-Calais », Insula [En ligne], mis en ligne le 27 juillet 2012. URL : <https://insula.univ-lille3.fr/2012/07/les-3-ans-de-pole-images/>. Consulté le 23 novembre 2012. [↩]
- Voir la page consacrée aux Learning Centers sur le site du Conseil régional Nord-Pas de Calais : http://www.nordpasdecalais.fr. [↩]
- Pierre Franqueville, « Bibliothèque minimale ou bibliothèque augmentée? », BBF, 2012, n° 2, p. 56-61 [en ligne] <http://bbf.enssib.fr/> Consulté le 20 novembre 2012. [↩]
- Voir le site des Ateliers : http://sicd1.ujf-grenoble.fr. [↩]
Lire aussi sur Insula :
Christophe Hugot, « De la Bibliothèque universitaire au Learning Center … », Insula [En ligne], ISSN 2427-8297, mis en ligne le 23 novembre 2012. URL : <https://insula.univ-lille.fr/2012/11/23/de-la-bibliotheque-universitaire-au-learning-center/>. Consulté le 21 November 2024.
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