Compte rendu de l’ouvrage de C. Corbel-Morana, Le Bestiaire d’Aristophane, Paris, Belles lettres, 2012.
L’ouvrage de Cécile Corbel-Morana est la version remaniée d’une thèse soutenue en 2002. L’auteure y étudie de manière exhaustive les représentations des animaux dans la comédie d’Aristophane, non en tant qu’animaux réels, mis en scène ou évoqués dans une perspective naturaliste, qu’en tant que symboles ou emblèmes des questions soulevées par l’œuvre. À cet égard, le projet et le livre sont neufs.
Compte rendu par Anne de Cremoux, Maître de conférences en grec à l’université Lille 3.
Ce compte rendu réalisé en 2012 est publié avec retard sur notre blog.
Dans l’introduction (pp. 9-12), Cécile Corbel-Morana définit les termes de son titre et revient notamment sur la notion de bestiaire, inspirée de la littérature médiévale, en soulignant que les animaux y sont représentés par anthropomorphisme, comme symboles. Elle justifie une approche thématique de son projet, afin de faire ressortir la cohérence des images animalières chez Aristophane, avec une double intention qui parcourra l’ensemble du livre : comprendre la représentation de l’animal dans son contexte immédiat, la pièce, et, au-delà, dans l’ensemble de la comédie ancienne, un élément de sa méthode résidant dans la confrontation systématique avec la pensée grecque dans son ensemble. Une donnée fondamentale qui émergera sera le questionnement, en comédie, de la frontière homme-animal, avec deux enjeux : un enjeu politique, et un enjeu poétique, qui seront successivement explorés dans les deux parties de l’ouvrage.
Dans une première partie, la plus longue (pp. 15-207), l’auteure, après avoir très rapidement évoqué le débat sur la nature politique ou non de la comédie ancienne, explore pour commencer les représentations d’animaux dans les utopies pacifistes – en somme, des représentations qui seraient positives. Elle étudie dans ce premier chapitre la manière dont les animaux, quand ils sont censés être consommés ou quand ils sont évoqués comme métaphores érotiques, entrent dans une représentation joyeuse et positive d’une nourriture et d’une sexualité remises à l’honneur dans un contexte de paix. Elle montre ainsi la manière dont le poète peut mettre en scène deux types de régimes opposés, celui du temps de guerre, lié aux valeurs militaires de l’épopée, et celui du temps de paix (étudiant notamment les Acharniens et la Paix, et montrant l’évolution jusque Lysistrata, où le régime de paix reste certes le même, mais appauvri, réservé au hors-scène d’une fin qui a souvent paru énigmatique). A cette opposition s’articule celle entre régime citadin et régime campagnard. Dans ce cadre, C. Corbel-Morana signale déjà la place particulière, ambiguë, du poisson, qui selon ses espèces, peut dénoter des valeurs contradictoires. Dans un deuxième moment de ce chapitre, C. Corbel-Morana relève et étudie les métaphores animales sexuelles qui viennent signaler un regain de force vitale dans l’utopie. Après avoir posé les questions de méthode et d’analyse liées à la métaphore, son lien avec les niveaux de langue et en particulier l’obscénité, l’auteure étudie plusieurs métaphores ponctuelles (par exemple le bélier, ou le taureau) et la manière dont elles peuvent structurer l’intrigue, avant d’analyser en détails la scène des « cochonnes » dans les Acharniens (on aurait pu ajouter à l’étude, à ce point, l’article de M. Bastin-Hammou sorti en 2000 sur cette section), puis les métaphores de la chevauchée érotique dans la Paix, les Grenouilles et le Ploutos, tantôt positives, tantôt négatives selon les formes de sexualité représentées.
Un second chapitre est consacré à la représentation de l’animal dans la cuisine – avec un thème culinaire qui dépasse donc la simple évocation de la consommation. C. Corbel-Morana s’attache ici à montrer en quoi ce thème est un instrument privilégié de la satire politique, et permet en particulier de représenter les dysfonctionnements d’une « démocratie dégénérée en démagogie ». Elle étudie plus précisément les métaphores qui parcourent les Cavaliers et la manière dont, concrètement aussi, la nourriture joue un rôle prépondérant dans la victoire du marchand : un rôle qui reflète à la fois un dévoiement de la parole, de l’argumentation et de l’action politiques, dans un réseau métaphorique resserré, mais qui révèle aussi une tendance des citoyens à être assistés, à n’exister plus comme citoyens que pour happer les ressources de leur cité et être des « citoyens-ventres », pour reprendre l’expression de l’auteure. Cette double portée du thème culinaire se retrouve également dans l’Assemblée des femmes, qui fait l’objet d’une analyse : C. Corbel-Morana montre ainsi que le banquet final de la pièce est comme perverti, n’est plus le banquet fondant la commensalité civique, mais se ramène à un banquet privé et corrompu. Après cette analyse du comportement culinaire du citoyen tel qu’il est représenté chez Aristophane, l’auteure étudie celui du démagogue de la comédie, avec ce que son alimentation révèle de son action politique : là encore, les Cavaliers, avec le personnage du Paphlagonien, sont un lieu d’analyse privilégié. C. Corbel-Morana revient alors sur le motif particulier des poissons, et leur lien particulier avec la démagogie chez Aristophane et dans la comédie de son époque (mais l’on pourrait peut-être souligner davantage que ce motif se retrouvera aussi tout au long de la comédie du IVè s. av. J.-C., y compris dans les affrontements entre pro et antimacédoniens). Elle souligne la manière dont le poisson, comme base culinaire, est instrument de représentation des inégalités sociales et des choix politiques, et montre ainsi que sa consommation peut avoir, derrière une démocratie excessive, des accents de tyrannie, que ce soit, toujours à propos de Cléon, dans les Cavaliers, ou surtout dans les Guêpes.
Dans un troisième et long chapitre, C.Corbel-Morana en vient aux assimilations d’hommes à des animaux que peut présenter la comédie dans une perspective surtout satirique, sur fond d’une réflexion anthropologique qui, au Ve s., cherche précisément à définir la cité et ses membres par opposition aux bêtes sauvages. L’auteure commence par mettre en perspective ces métaphores animales, rappelant d’abord leur emploi chez Homère et leur lien avec les traditions d’éloge et de blâme, puis l’imagerie populaire évoquée dans la poésie lyrique archaïque et dans la fable. Elle indique ainsi dès ici l’évolution diachronique de la référence animale, notant en particulier qu’elle « tend […] à se réduire à l’utilisation mécanique d’un code symbolique détaché de la réalité vivante et concrète des comportements animaux » (p. 86), un mouvement qui se confirmera dans la comédie aristophanienne. Le livre de S. Schirru sur la fable chez Aristophane aurait peut-être ici pu être davantage exploité. L’auteure montre ensuite en quoi le bestiaire du poète intègre cette double tradition, littéraire et populaire, par l’étude des cas concrets qui se rencontrent dans sa comédie. L’image du lion, celle du loup et celle du renard, sont par exemple étudiées dans leurs différents emplois d’une pièce à l’autre. Les relations entre ces animaux, l’injure et la satire politique sont alors envisagées (et Cléon là encore a la part belle, mais C. Corbel-Morana montre que le peuple athénien lui aussi est largement visé), sans que l’auteure revienne à ce propos sur l’enjeu interprétatif majeur signalé en début de partie, à savoir la portée politique qu’entend ou non avoir la comédie lorsqu’elle a recours à de tels procédés. Deux cas particuliers des Guêpes sont abordés en détail : celui du chien (qui, comme le montre l’auteure, est une métaphore commune au peuple et à ses dirigeants), traditionnellement ambivalent et se prêtant ainsi à une représentation paradoxale de la société athénienne, et celui, bien sûr, des guêpes, que l’auteure réintègre dans le contexte des chœurs zoomorphes (avec les problèmes qu’ils posent), en montrant que l’image est alors contaminée par celle des abeilles et des faux-bourdons. C. Corbel-Morana montre dans chaque cas par quelles techniques Aristophane peut retenir les aspects les plus négatifs de la figure animale pour lui donner une richesse nouvelle en y injectant d’autres références : elle signale ainsi que la métaphore est aussi un lieu de créativité, de recréation poétique, ainsi qu’un moyen de produire des effets spectaculaires par sa concrétisation sur scène. Elle prend appui, dans les études très détaillées de passages auxquelles elle se livre, sur l’ensemble des sources, non seulement littéraires, mais également iconographiques (plusieurs planches viennent illustrer ses réflexions).
Un dernier chapitre de cette première partie est consacré à la représentation de la sauvagerie par le biais de l’animal dans les Oiseaux, et à la manière dont la pièce soulève ainsi les questions politiques de la définition de la cité. L’auteure commence par rappeler, là aussi très rapidement, la division de la critique sur cette pièce, et indique immédiatement que selon elle, « les Oiseaux ne sont pas… une comédie d’évasion » (p. 172), ce qu’elle prouvera à l’issue d’une riche démonstration. Elle étudie ensuite les différents types de transformations, d’hommes en oiseaux et inversement, qui s’opèrent au long de la pièce, et leurs liens avec les transformations du langage, en s’appuyant sur des réseaux métaphoriques possibles qui seraient associés aux oiseaux, et notamment le réseau des nuages et de l’air que l’on a parfois repéré dans les Nuées. C. Corbel-Morana montre ainsi que dans un premier temps de la pièce, les représentations animales s’articulent autour de la fuite de la cité et d’un retour des personnages principaux à un état de nature en réalité ambivalent (entre société pure et société sauvage violente), puis que, dans un second temps, elles signalent une recréation du cadre de la cité. Leur emploi permet donc de repérer une structure de la pièce qui en détermine une interprétation politique générale : dans un premier temps de la comédie, « l’utopie comique parodie et caricature les théories sophistiques contemporaines en poussant l’hypothèse de l’Etat de nature jusqu’à ses conséquences les plus extrêmes et en dénonçant les effets pervers de ce modèle pour la société » (p. 191). Cela explique que dans un second temps, la pièce fasse assister à une réaction qui restaure la loi et les valeurs de la civilisation dans le cadre de la cité (ainsi, le parricide est chassé par le héros) : c’est donc le cadre athénien qui réapparaît alors, et finalement, ce que le héros avait d’abord voulu fuir. Or ce cadre laisse lui-même place à la sauvagerie animale, puisque la scène finale d’ambassade représente un comportement cannibale et violent de Peisétairos, marque d’un régime en réalité tyrannique. C’est donc l’homme policé lui-même, et le modèle fondamental de la cité et d’une démocratie poussée à l’extrême, qui recèlent le sauvage et la dégradation en tyrannie. De ce point de vue, pour C. Corbel-Morana, la pièce est bien politique, et fait assister à un constat que l’on avait déjà dans les Nuées.
La deuxième partie de l’ouvrage (pp. 209-303) consiste en une étude des aspects poétiques, et plus proprement parodiques et critiques, des représentations animales dans la comédie aristophanienne. L’auteur y indique les relations entre le bestiaire et la polémique littéraire qui traversent cette œuvre. Elle aborde, dans un premier chapitre intitulé « Le burlesque : du carnaval à la critique littéraire », la technique par laquelle le poète entremêle des références à des animaux diversement évocateurs, qu’ils soient ceux de la haute poésie ou des animaux humbles, méprisés, afin de dire quelque chose de ses rivaux ou de la tragédie, et surtout d’en qualifier le style de façon polémique. Le bousier de la Paix, le crabe des Guêpes sont présentés dans cette perspective ; surtout, les animaux qui peuplent les Grenouilles ou y sont évoqués font l’objet d’une étude longue et minutieuse. L’auteure y montre qu’ils permettent d’opposer des catégories poétiques, mais aussi de dénigrer les prétentions des personnages et des poètes, puisqu’ils font l’objet de « dégradations burlesques ». Les grenouilles-cygnes surtout permettraient de faire la satire des poètes du Nouveau dithyrambe, et derrière eux, d’Euripide, dont la défaite serait ainsi annoncée : une longue analyse est donc consacrée aux problèmes liés à ce chœur, y compris ceux de sa représentation ou non sur scène.
Un second et dernier chapitre est consacré aux Oiseaux, œuvre particulièrement prisée de l’auteure, et à leur thème poétique. Pour elle, les animaux de la pièce ont inspiré, et représentent, des poètes – surtout « sérieux » – avec lesquels Aristophane cherche à se mesurer, afin d’établir la supériorité de sa comédie. L’auteure étudie ainsi non seulement les espèces d’oiseaux présentées dans la pièce, mais également les images qui leur sont associées, et notamment celle de la fuite ailée, véritable topos dans la poésie lyrique et tragique de l’époque, concrétisé dans la pièce par le départ initial des deux Athéniens. Elle poursuit par une analyse très détaillée, presque apologétique, de passages dans lesquels Aristophane remploie et selon elle dépasse des modèles de la lyrique élevée, ancienne et surtout moderne : notamment le chant de la Huppe, vv. 209-262, avec les problèmes de mise en scène qu’il soulève, puis, l’ode et l’antode de la parabase, avec l’image traditionnelle du « poète-oiseau chanteur », reprise par Aristophane dans une intention réflexive. Elle termine par une analyse dramaturgique (avec la question du nombre des choreutes, et la possibilité d’un chœur secondaire préparant l’entrée du groupe) et littéraire fournie de la parodos, en soulignant son caractère spectaculaire inédit.
Une conclusion partielle et une conclusion générale suivent, qui reprennent de façon méthodique les thèmes et enjeux abordés dans l’ouvrage. Ce dernier se termine par une bibliographie analytique riche, qui aura nourri les références et analyses, et par un double index, d’une grande utilité : index des passages commentés, et index des mots grecs étudiés – en particulier, bien sûr, les noms d’animaux.
Ce livre, riche par son projet et sa méthode, fournit un outil précieux pour qui veut aborder les représentations animales dans la comédie en général, ou simplement se documenter ponctuellement sur l’une de ces images et ses origines. Les aspects les plus attrayants résident peut-être dans les analyses minutieuses qui sont faites d’un certain nombre de passages, analyses en particulier littéraires et dramaturgiques, qui ne négligent aucune source et sont basées sur une documentation foisonnante. L’auteure élargit celle-ci à l’ensemble du corpus de la littérature grecque antique, prenant soin de convoquer tous les types de textes pouvant expliquer le choix par Aristophane de tel ou tel animal. Les pièces sont ainsi toujours confrontées aux autres pièces de l’auteur, mais aussi aux fragments de la comédie ancienne, et à l’ensemble de la littérature archaïque et classique, philosophie comprise. On citera pour exemples, parmi beaucoup d’autres, l’analyse détaillée de la parabase des Guêpes, pp. 157 sqq., par laquelle l’auteure met au jour de façon subtile le fonctionnement complexe de l’image animale ; ou encore, le point fait sur la question de la représentation ou non du chœur des grenouilles dans la comédie éponyme (pp. 240-5), question dont dépendent en bonne partie l’interprétation de la pièce et sa portée poétique, comme le montre C. Corbel-Morana. Au long de ces développements, l’auteure prend régulièrement soin de signaler et justifier la méthode qu’elle emploie : ainsi les très intéressantes pp. 37 s., où sont posés les liens entre usage de la métaphore, niveaux de langue et conditions sociologiques de la représentation.
C. Corbel-Morana propose ainsi bien des conclusions ou pistes très stimulantes : par exemple, sur le dysfonctionnement du banquet, qui perd sa fonction de cohésion sociale, p. 27 ; sur l’inversion d’images traditionnellement positives par leur remploi dans un sens nouveau, p. 102 ; sur les doubles valeurs liées à l’image du chien, image positive et négative, image du démagogue et du peuple, pp. 112 s., etc.
Comme l’auteure le signale elle-même en introduction et en conclusion, « le bestiaire d’Aristophane ne peut être mis en système », même si l’on y trouve une cohérence. La diversité d’emplois des images animales, et la multiplicité de leurs fonctions, expliquent que sur le fond, l’auteure ne puisse rattacher son étude d’ensemble à une prise de position générale dans le débat interprétatif qu’elle rappelle en début d’ouvrage. Mais à cause de l’ampleur et de la difficulté du projet, ces enjeux interprétatifs semblent parfois présentés de manière un peu normative, comme si certains présupposés (comme les oppositions bas/haut, humain/animal, etc.) ou certaines conclusions allaient de soi. Il en est ainsi, peut-être, pour l’optimisme attribué aux pièces sur la paix : C. Corbel-Morana prend soin de noter que la scène des « cochonnes », dans les Acharniens, montre comment la faim peut ramener les hommes à l’animalité, mais ensuite, elle inscrit pourtant apparemment cette scène dans une « conception positive du corps humain et de sa sexualité », p. 54, alors que si la vente des fillettes suscite le rire, c’est un rire grinçant. De même, pour les Cavaliers, tout en notant que le marchand de boudin est lui aussi un démagogue, la critique note que la pièce « rétablit et réaffirme les principes de la démocratie athénienne » (pp. 80-81), alors que le Paphlagonien est vaincu par pire que lui, dans une conclusion qui pourrait sembler très pessimiste. Ainsi semblent parfois présentées comme allant de soi des positions qui entrent dans une longue histoire interprétative, histoire qui, dans le cadre de cet ouvrage, ne pouvait pas systématiquement être faite.
Plusieurs pistes donneraient envie d’être suivies plus avant, dans le détail comme de manière générale. Au chapitre 1, l’anguille des Acharniens, invoquée dans le contexte parodique d’un regret amoureux, ne pourrait-elle pas avoir une signification érotique plus marquée, d’autant que dans la Paix, elle devient plus explicitement symbole de réconciliation ? Au chapitre 2, si les poissons ont, comme plat, une signification politique, cela n’est-il pas lié non plus à une conception du langage, ce qui permettrait de comprendre le témoignage d’Athénée sur les auteurs de comédie moyenne et sur les « mots de poissons » étudiés dans la traduction commentée de B. Louyest ? La tyrannie liée à la consommation des poissons, et celle liée à la consommation des oiseaux « concitoyens », ne pourraient-elles pas être rapprochées et étudiées comme phénomène global ?
De manière plus générale, peut-être pourrait-on chercher des liens possibles entre la dimension politique d’une part, et la dimension poétique et parodique d’autre part de ces représentations animales (à ce titre, l’ouvrage de Ch. Platter, de 2007, pourrait s’avérer utile), afin de voir si ces images n’entrent pas dans une réflexion portant sur le rôle politique du poète. Dans les Oiseaux, si la poésie ne semble pas directement mise en relation avec la politique, les expérimentations sur le langage des sophistes, qui bâtissent leurs théories sur de l’air (comme dans les Nuées), pourraient être reliées à l’activité politique de Pisthétairos et au monde symbolique des oiseaux en même temps. Dans les Grenouilles, si la pièce évoque l’opposition sauvage/civilisé dans les types de poétiques représentées sur scène, le rôle politique du poète tragique dans la cité est présenté, dans la même scène, comme déterminant.
À propos du livre
Cécile Corbel-Morana, Le Bestiaire d’Aristophane, Paris, les Belles lettres, 2012, Collection « Etudes anciennes. Série grecque », 144. 350 pages − Lien chez l’éditeur les Belles lettres − notice de bibliothèque.
Lire aussi sur Insula :
Anne de Cremoux, « À propos du bestiaire d’Aristophane », Insula [En ligne], ISSN 2427-8297, mis en ligne le 8 janvier 2014. URL : <https://insula.univ-lille.fr/2014/01/08/a-propos-du-bestiaire-aristophane/>. Consulté le 7 October 2024.
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