Comment la mythologie est-elle abordée dans les parcs à thèmes ? Les mythes y sont-ils traités différemment que dans les musées ? Quelques éléments de réponse sont apportés ici à partir d’une analyse du « Vol d’Icare », attraction du Parc Astérix.
Oser comparer les parcs d’attractions et les musées, est ce possible ? Oui, si c’est pour montrer les dangers qui guettent depuis de nombreuses années nos grands établissements culturels, temples de l’art. Jean-Michel Tobelem parle ainsi dans son célèbre ouvrage, Le nouvel âge des musées, du risque de « disneylandisation » des musées1. Le musée lieu de savoir et de délectation se transformerait alors en parc de loisirs géant ouvert à la consommation d’expositions, d’événementiels, de boutiques et de restaurants. Nos recherches sur les œuvres mythologiques en musées nous ont amené à nous intéresser à l’imaginaire antique dans nos sociétés et à ses sources. Parmi elles, nous nous sommes rappelé que les dieux et héros grecs étaient aussi présents dans les parcs de loisirs et notamment, en France au Parc Astérix, situé à environ 30 km au Nord de Paris, à Plailly2.
Une Grèce de carte postale
Ouvert depuis 1989, le Parc propose aux touristes, des attractions autour du monde d’Astérix, tiré de la bande dessinée imaginée par Goscinny et Uderzo. Il possède une partie « Grèce antique » depuis 1994. Au fil d’ajouts successifs, celle-ci est composée aujourd’hui de six attractions, deux restaurants, une boutique, un spectacle. Si le terme « Grèce antique » renvoie généralement à un concept historique et civilisationnel, il désigne ici, presque exclusivement, la religion du monde gréco-romain entre le VIIIe siècle av. et le IIe-IIIe siècle apr. J.-C. Aucune référence donc à des concepts comme « démocratie », « hellénisme », ou à des personnages comme Périclès ou Alexandre le Grand.
La vision de la mythologie grecque donnée par le Parc peut-elle être mise en parallèle avec celle des musées ? Le premier « s’inscrivant dans une logique économique »3 et le second faisant partie du champ culturel, les deux sont-ils conciliables dans leur manière de médiatiser le mythe ? Musées comme parcs le montrent dans le cadre d’une architecture et d’un parcours spécifique avec ses propres significations. De plus, ils possèdent des outils de médiations plus ou moins visibles qui invitent le visiteur à entrer dans cet univers mental des dieux et héros antiques. Nous chercherons ici à ne plus voir le parc d’attraction comme un « risque » pour les musées mais à montrer les apports potentiels intrinsèques à ces deux structures culturelles. Et si nous étions, à la fois, dans une certaine « Astérixisation » des musées et une « muséalisation » des parcs ?
Décrivons tout d’abord l’univers « Grèce antique » du Parc Astérix qui n’est alors qu’un univers parmi d’autres. Si la thématique principale est centrée sur les Gaulois et les Romains, d’autres civilisations sont abordées en lien avec les nombreux albums de bande dessinée. Les liens entre Astérix et la Grèce pouvant notamment se retrouver dans le douzième album : Astérix aux jeux olympiques. L’univers que nous allons étudier se situe à l’ouest du parc et, chose intéressante, pour y accéder, nous devons d’abord passer par le Monde Romain4. Nous entrons chez les Grecs par trois colonnes doriques, dont deux totalement remontées et portant le début d’une architrave. Nous sommes alors dans une image d’Épinal où la Grèce se caractérise avant tout par son passé et ses vestiges, plus ou moins bien conservés. L’univers musical est aussi directement présent. Des hauts parleurs placés un peu partout diffusent des airs inspirés des musiques de Mikis Theodorakis pour le film Zorba le Grec réalisé par Michael Cacoyannis en 1964, qui lança notamment la mode du sirtaki. Nous entrons alors dans une petite allée avec, de chaque côté, une architecture très stéréotypée de maisons blanches aux toits bleus, que l’on peut retrouver dans les îles grecques comme Santorin, avec la présence inévitable et anachronique d’un (faux) moulin à vent. Cette partie, qui regroupe principalement la boutique et les deux restaurants, possède déjà quelques occurrences mythologiques, notamment dans les noms. Le petit restaurant se nomme La Taverne de Dionysos, celui-ci étant le dieu de l’allégresse. Or dans les menus, plus aucun lien avec la mythologie, il s’agit d’un simple snack de sandwiches où l’on ne peut même pas acheter du vin. En face, on remarque le Théâtre de Poséidon. Cette zone de spectacle permet d’admirer les acrobaties d’animaux aquatiques. Puis, vers l’extrémité de cette « rue », se trouve la première vraie attraction : le Cheval de Troie. Les maisons blanches et bleues s’arrêtent. À droite nous découvrons le grand lac du parc ; à gauche, une succession de trois attractions : le Vol d’Icare, l’Hydre de Lerne, la Rivière d’Elis. Celles-ci nous mènent au bout du chemin, à la grande montagne russe, emblème du parc : le Tonnerre de Zeus ainsi qu’à une nouveauté cette année, le Discobélix, inspirée de la célèbre sculpture du Discobole de Myron.
Ainsi le parcours est organisé pour accéder au plus grand des dieux : Zeus. On peut alors décomposer le cheminement en trois parties :
- Une première partie « ambiance », qui place le visiteur dans l’imaginaire de la Grèce : maisons blanches, sirtaki, noms de divinités…
- Puis vient le tour des attractions à « héros ». On passe des restaurants aux manèges liés à de grands personnages mythologiques : Ulysse, Dédale et Icare, Hercule…
- Enfin, visible de loin, se dresse l’imposante montagne russe tout en bois du Tonnerre de Zeus, où une statue géante du dieu nous invite à entrer.
L’organisation de l’univers monte donc crescendo, allant métaphoriquement du monde des mortels jusqu’au sommet de l’Olympe. « Nous avons décidé de faire un parcours comme si c’était une ascension vers le ciel, là ou habitent les dieux ». Cette phrase ne vient pas d’un des architectes du parc mais du muséographe, Daniel Gastonguay, récent concepteur de l’exposition « Les Maîtres de l’Olympe » au Musée de la Civilisation de Québec5. Le parallèle nous paraît alors légitime. Le but d’une exposition comme d’un parc est de créer du sens par rapport à un point de départ et d’arrivée. Les pièces maîtresses ne sont pas placées dès l’entrée pour pouvoir créer une progression et de l’attente vis à vis du visiteur. De la même manière, les grandes montagnes russes d’un parc de loisirs sont souvent situées aux extrémités.
Le Vol d’Icare
D’élévation, il en est question dans une attraction, le Vol d’Icare. Celle-ci, à l’inverse des autres attractions proposées6, possède une identité propre qui fait d’elle une illustration originale du mythe, voire de l’histoire minoenne. Rappelons le mythe: suite à la victoire de Thésée sur le Minotaure, Dédale fut enfermé par Minos, le roi légendaire de Crète, dans le labyrinthe dont il était l’architecte avec son fils Icare. Par la suite, les deux héros parviennent à s’évader en volant grâce à des plumes attachées avec de la cire d’abeilles. Mais, parce qu’il vola trop près du soleil, Icare tomba dans la mer et se noya, ses ailes ayant fondues7. De nombreuses fois représenté dans l’art, notamment par Pieter Bruegel, Rodin ou Matisse, ce mythe trouve un nouveau type de représentation dans l’attraction du Parc Astérix. Dans tout lieu culturel d’importance, le début de la visite commence par un temps d’attente. Les parcs en tiennent compte dans l’architecture de leurs attractions en créant ainsi, si possible, une ambiance propre à chacune. C’est le cas du Vol d’Icare où l’espace de la file d’attente reprend les ruines du palais de Knossos en Crète, lieu de la légende. L’écrivain grec Nikos Kazantzakis décrit Icare ainsi dans cet environnement : « […] ce jour-là, [il] ne pouvait rester enfermé dans l’atelier de son père. Il rôdait dans le Palais, tout au long des étroits celliers où se tenaient alignées les gigantesques jarres » ((Nikos Kazantzakis, Dans le palais de Minos, Plon, Paris, 1984, p. 138.)). On retrouve ainsi, dès l’entrée, les vases typiques de l’art minoen et la file d’attente suit de nombreux méandres, comme si le visiteur était lui-même dans le labyrinthe. D’ailleurs, à un endroit de la file, est représenté un petit labyrinthe avec la mention humoristique « Vous êtes ici ». Le décor reprend les restaurations, encore critiquées, de l’archéologue anglais Arthur John Evans qui fouilla Knossos au début du XXe siècle. On retrouve les hautes colonnes bétonnées d’un rouge criard, les fresques, le mobilier… : tout est vraiment bien reproduit. L’attente se fait ainsi dans un cadre plutôt agréable, alors que celles qui se créent pour accéder dans les musées et les grandes expositions se font plutôt en extérieur ou de manière beaucoup moins organisée au sein des bâtiments.
Tout nous renvoie alors au mythe et à son déroulement. Le visiteur est dans un labyrinthe, comme Icare et Dédale après la fuite de Thésée. Il ne sait pas où il va, jusqu’à ce qu’il parvienne au début de l’attraction où plusieurs trains composés chacun de deux wagons l’attendent. Nous pouvons être par deux à l’intérieur, comme Icare et son père. Les wagons sont garnis de deux ailes blanches. Ainsi, avec ce véhicule, les deux héros trouvent un moyen de sortir du labyrinthe de Minos. L’attraction commence par une grande montée et, au sommet, un grand soleil est représenté. S’ensuit, pendant environ deux minutes, une série de montées et descentes qui nous ramènent au point de départ. Comme Icare, le visiteur s’est approché trop près du soleil et la montagne russe le fait redescendre violemment. Nous sommes dans l’expérimentation pleine et entière du mythe, de manière physique. Dans une tradition issue d’André Malraux8, reste imprégnée l’idée que les œuvres des musées ont vocation à faire ressentir de grandes émotions au visiteur. Ici, le visiteur peut effectivement verser des larmes, même si elles sont dues à la vitesse et au mouvement des wagons. Cependant, cette analogie entre l’attraction et le mythe, combien de touristes la font ? Aucun élément de médiation n’est présent dans et autour de la montagne russe pour rappeler les histoires de Dédale, Icare, du Minotaure ou de Thésée. Le lieu de l’attraction, Knossos, n’est pas non plus explicité. Tous ces artefacts créent un décor, un contexte qui fait entrer chacun dans un univers, mais qui n’est ni nommé ni expliqué, à l’inverse d’autres parcs comme Waterword à Chypre où de petits panneaux expliquent les mythes devant chaque attraction. Ces artefacts ont-il alors un sens ? À quoi sert l’ascension vers le soleil, qui dans le mythe renvoie de plus à une métaphore de l’orgueil ? Dans son omission, le parc assume pleinement sa fonction de loisir. Or, le visiteur a souvent soif de connaissances, les professeurs Gilles Brougère et Giulia Fabbiano montrent très bien en effet que « l’on ne peut comprendre le tourisme en général […] sans mettre en évidence la logique de découverte et de curiosité »9, associée à celle « d’émerveillement »10, le plaisir n’étant donc pas une antithèse du savoir. D’ailleurs le Parc Astérix s’occupe d’éducation et fait montre d’une certaine pédagogie lorsqu’il s’agit d’attirer un type de public spécifique, partagé avec les musées : les scolaires. Des dossiers pédagogiques à destination des enseignants du Primaire et Collège leur sont proposés et le mythe d’Icare y est mentionné. Sur le site internet présentant l’attraction, cet épisode du mythe est évoqué de manière allusive :
Direction le soleil ! Montez, montez, montez… la descente vous donnera un coup de chaud !
Une approche sensorielle, ludique et humoristique des mythes
Certaines attractions prennent ainsi le parti pris de la copie et du pastiche pour montrer les mythes, a contrario des musées qui se doivent de proposer des œuvres vues comme authentiques et propres à leurs auteurs. Les parcs usent alors d’une ambiance, d’une tonalité qui n’est cependant pas tant éloignée des autres institutions culturelles. Prenons l’exemple de la musique. L’objectif des musées est souvent de tendre au silence pour pouvoir contempler les œuvres sans être dérangé. Pourtant ce silence est lui même un mythe, les bruits étant nombreux et divers : chuchotement des visiteurs, bruits de leurs pas, de l’extérieur, cris d’enfants, grésillement d’une ampoule… Pourquoi ne pas alors donner à chaque salle une atmosphère propre par le biais d’un fond sonore, comme le fait le Parc Astérix qui, en plus du thème général, possède des thématiques propres à chaque attraction ? On pourrait ainsi imaginer une recomposition de musiques antiques dans les salles de céramiques grecques ou des extraits d’opéras dans celles où se trouvent des peintures et sculptures mythologiques de l’époque moderne. Or, des expériences ont déjà été menées dans ce sens11, sans compter les nombreux concerts programmés dans les musées. Leurs succès montrent toute leur pertinence et posent la question de la permanence de la musique au sein de ces institutions.
Ce qui frappe aussi est le caractère ludique du parc d’attraction, notion vers laquelle se dirigent de nombreux musées, que l’on pense aux simples livrets-jeux, ateliers ou goûters d’anniversaire au sein des établissements. C’est que, vis-à-vis de l’école, le musée cherche à se démarquer en appliquant une éducation dite informelle, « fournisseur d’idées »12 sur un temps plus court que l’école. Musées et parc se rejoignent alors dans cette idée que « sous d’autres formes, dans d’autres lieux, avec d’autres moyens et d’autres méthodes, la VS [vulgarisation scientifique] se propose de contribuer à l’acculturation scientifique du public des non spécialistes »13. Prenons alors le cas de l’humour. Le Parc Astérix est rempli dans ses décors de parodies et pastiches. Héraclès en prend alors pour son grade, par exemple, près de l’attraction l’Hydre de Lerne ou sur un grand vase, il nettoie les écuries d’Augias avec… un aspirateur. Au musée, l’humour est souvent réservé aux enfants dans des cartels et livrets-jeux spécifiques, et/ou cantonné à une exposition temporaire14. Mais de plus en plus d’expériences sont menées dans des collections permanentes. Par le biais de copies, de pastiches ou de parodies d’œuvres, les musées mettent en valeur leurs peintures, sculptures ou céramiques. Ainsi au Nationalmuseet de Copenhague, dans la collection des statuettes romaines, les conservateurs ont installé une figurine du dessin animé Hercule de Disney15. De la même manière, s’est déroulée du 10 avril au 5 juillet 2015, une exposition au Palais des Beaux-Arts qui « mêle culture classique et culture populaire » avec des œuvres du collectif allemand InterDuck dans les salles d’exposition permanente du musée16. Ce genre d’action est une piste exploitée par les musées aujourd’hui pour attirer le public familial, cible centrale, aussi privilégiée par les parcs d’attractions. Déjà en 2005, le muséologue Raymond Monpetit réfléchissait sur cette tendance des musées17 :
Que le musée d’aujourd’hui se veuille convivial, interactif et même amusant, qu’il prenne note que ceux qui s’y rendent le font dans leur temps de loisir, n’indique pas, à nos yeux, qu’il offre moins de contenus ni d’occasions de vivre des expériences qui favorisent la réflexion et le développement. Les dimensions ludiques et de participation de certaines muséographies sont des composantes parmi d’autres de la visite ; elles n’empêchent en rien que les visiteurs entrent aussi dans des dynamiques de socialisation et d’éducation, ni qu’ils ne tirent de leur parcours, à la fois un certain bien-être, un certain savoir, du plaisir et du sens, ainsi que le désir d’en connaître davantage.
Ainsi, par le prisme de la mythologie grecque, on a vu quelques intérêts communs des musées et parcs d’attraction. Les deux permettent de donner corps à un certain univers mental mais aussi à différents aspects du mythe grec. Le Parc Astérix est à cet égard un exemple significatif avec la présence de ruines, sirtaki, statues géantes,etc., regroupés autour de grandes figures comme la statue de Zeus ou le palais-labyrinthe du roi Minos. Mais à quoi sert cette ébauche de représentations sans un minimum d’explications ? Il y manque sans doute une certaine médiation et la volonté plus affichée de rendre accessibles ces références. C’est là où les musées ont beaucoup à apporter, d’autant plus qu’aujourd’hui les médiations peuvent être très variées et ludiques. À l’inverse, les musées peuvent s’inspirer des parcs pour rendre leurs collections plus accessibles au grand public, la dimension de conservation et d’éducation étant tout à fait compatible avec des notions comme l’humour ou le divertissement.
- Jean-Michel Tobelem, Le nouvel âge des musées : les institutions culturelles au défi de la gestion, Armand Colin, Paris, 2005, p. 260. [↩]
- D’autres parcs utilisent cet univers comme Europa-Park en Allemagne ou Terra Mitica en Espagne. [↩]
- Annette Viel, Anne Nivart, « Parcs sous tension », in Culture & Musées. Du musée au parc d’attraction : ambivalence des formes de l’exposition (sous la direction de Serge Chaumier), N°5, 2002 p. 138. [↩]
- Une autre entrée est possible, mais beaucoup plus éloignée, en passant par les Vikings. [↩]
- Catalogue de l’exposition, Les Maîtres de l’Olympe : Trésors des collections gréco-romaines de Berlin, ouvrage collectif, TTM Éditions, Issy-les-Moulineaux, 2014, p. 110. [↩]
- Difficile par exemple de voir dans le Cheval de Troie, un quelconque lien avec le mythe. Rien, tant dans l’architecture que dans l’expérience ne renvoie à cet épisode. [↩]
- Ovide détaille le mythe dans les Métamorphoses, Livre VIII. [↩]
- Notamment dans l’Introduction de son ouvrage, Le Musée imaginaire, Gallimard, Paris, 1965. [↩]
- Gilles Brougère, Giulia Fabbiano, Apprentissages en situation touristique, Presses Universitaire du Septentrion, Villeneuve d’Ascq, 2014, p. 26. [↩]
- Ibid., p. 24. [↩]
- Comme en 2014 avec l’opération « Open Museum #1 Air » au Palais des beaux-Arts de Lille ou en mars 2015 au Museum of Fine Arts de Boston. [↩]
- Bernard Darras, Anna M. Kindler, « Le musée, l’école et l’éducation artistique » in Publics et Musées : Education artistique à l’école et au musée N°14, 1998, p. 22. [↩]
- .M. Lucas, 1983, cité dans La Muséologie, champ de théories et de pratiques, Anik Meunier (dir.), Presses de l’Université de Québec, Québec, 2012, p. 3. [↩]
- Comme du 30 mai au 1er novembre 2015, l’exposition « Les Petits Mythos » au Musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal. [↩]
- De John Musker et Ron Clements, en 1997. [↩]
- Bruno Girveau, directeur du Musée, Livret de visite de l’exposition « Open Museum #2 Donald ». [↩]
- Raymond Monpetit , « Expositions, parcs, sites : des lieux d’expériences patrimoniales », in Culture & Musées, op. cit., N°5, 2005, p. 114. [↩]
Lire aussi sur Insula :
Cyrille Ballaguy, « La Mythologie grecque au Parc Astérix : quelle complémentarité pour nos musées ? », Insula [En ligne], ISSN 2427-8297, mis en ligne le 23 septembre 2016. URL : <https://insula.univ-lille.fr/2016/09/23/la-mythologie-grecque-au-parc-asterix-quelle-complementarite-pour-nos-musees/>. Consulté le 21 November 2024.